

Social
Le terme social renvoie généralement à l'idée de solidarité, de sociabilité, et aux politiques sociales.
L’Œuvre Sociale Privée est définie comme toute personne physique ou morale apportant une aide ou un encadrement à des personnes de tout âge ou sexe, aux familles ou groupes, dans la perspective d’améliorer leurs conditions sociales.
Pour IZMIZ sarl il est essentiel, crucial, impératif que nous puissions avoir un impact positif sur la communauté, que le succès de la société puisse engendrer des retombées positives et que celles-ci profitent au plus grand nombre.
"L'accès aux serviettes hygiéniques pour tous."
Dans certaines régions d'Afrique, les femmes percevant le salaire minimum doivent utiliser un dollar sur sept qu'elles gagnent pour acheter des serviettes hygiéniques, selon une étude. Ces femmes sont confrontées à la "pauvreté menstruelle"et leurs filles également, ce qu'il faut changer !
Les femmes au salaire minimum doivent dépenser entre 5% et 15 % de leur salaire pour acheter deux paquets de serviettes hygiéniques contenant huit serviettes - La quantité nécessaire dont beaucoup de femmes ont besoin chaque mois.
Raison pour laquelle IZMIZ sarl organise régulièrement des campagnes de sensibilisation auprès des femmes et des jeunes filles.
Celle-ci s'accompagne de distribution de serviettes hygiéniques gratuites.
En image ci-dessous, cette campagne et distribution ont été mis en place lors de la journée de l'Enfance, que nous avons organisée en partenariat avec UNICEF.

Réalité
Chaque jour, dans le monde, environ 800 millions de femmes et de filles ont leurs règles. Un tiers d’entre elles n’ont pas accès à de l’eau propre, à des toilettes privées, décentes et qui leur sont adaptées, ni à des protections pour vivre cette période avec dignité.
La question de la précarité menstruelle, c’est-à-dire de la difficulté pour des filles et des femmes à avoir accès à des protections hygiéniques, émerge depuis quelques années, notamment grâce aux médias. En 2019, une étude du journal Le Monde a révélé que, en France, une femme dépense en moyenne 3 800 euros dans sa vie pour son hygiène menstruelle (cette somme inclut les protections hygiéniques et autres frais directement liés aux menstruations, tels que les antidouleurs ou les consultations chez un gynécologue). Ces dépenses pénalisent particulièrement les femmes les plus vulnérables (les femmes pauvres, sans domicile fixe, réfugiées, etc.), creusant un peu plus les inégalités dont elles sont victimes.
En Afrique subsaharienne, près de 40 % de la population, dont une majorité de femmes, vit sous le seuil de pauvreté. Cependant, la précarité menstruelle reste taboue, peu prise en compte par les politiques publiques et mal étudiée par les scientifiques. Dans toutes les cultures, les règles ont été ou sont encore stigmatisées et considérées comme quelque chose de « sale » ou d’« impur ». Ainsi, les sujets relatifs aux menstruations doivent être tus et ne sont pas discutés ouvertement. Il a pourtant été démontré que le coût des protections est trop élevé dans cette région du monde et empêche les jeunes filles et les femmes de vivre leurs périodes menstruelles dans la dignité."
Institut de Recherche pour le Développement

En image...
En image, retrouvé les photos prises lors d'une journée particulière , cette campagne et distribution ont été mis en place lors de la journée mondiale de l'Enfance, que nous avons organisé en partenariat avec UNICEF.
